Transhumanisme, mouvement social et philosophique dédié à la promotion de la recherche et du développement de technologies robustes de valorisation humaine. De telles technologies augmenteraient ou augmenteraient la réception sensorielle humaine, la capacité émotive ou la capacité cognitive, amélioreraient radicalement la santé humaine et prolongeraient la durée de vie. De telles modifications résultant de l’ajout de technologies biologiques ou physiques seraient plus ou moins permanentes et intégrées au corps humain.
Quelles sont les origines du transhumanisme ?
Le terme transhumanisme a été inventé par le biologiste et philosophe anglais Julian Huxley dans son essai du même nom en 1957. Huxley s’est référé principalement à l’amélioration de la condition humaine par le changement social et culturel, mais l’essai et le nom ont été adoptés comme séminal par le mouvement transhumaniste, qui met l’accent sur la technologie matérielle. Huxley a soutenu que, bien que l’humanité ait naturellement évolué, il était désormais possible pour les institutions sociales de supplanter l’évolution dans le raffinage et l’amélioration de l’espèce. La philosophie de l’essai de Huxley – sinon sa lettre – peut être localisée dans l’engagement du transhumanisme à assumer le travail de l’évolution, mais à travers la technologie plutôt que la société.
Quels sont les caractéristiques du mouvement transhumaniste ?
Les adhérents du mouvement ont tendance à être libertaires et employés dans la haute technologie ou dans le milieu universitaire. Ses principaux partisans ont été d’éminents technologues comme l’informaticien et futurologue américain Ray Kurzweil et des scientifiques comme l’informaticien et roboticien canadien d’origine autrichienne Hans Moravec et le chercheur américain en nanotechnologie Eric Drexler, avec l’ajout d’un petit contingent influent de penseurs comme le philosophe américain.
Le mouvement a évolué depuis ses débuts comme une association de groupes dédiés à «l’extropianisme». Le transhumanisme est principalement divisé entre les adhérents de deux visions de la post-humanité – l’une dans laquelle les améliorations technologiques et génétiques ont créé une espèce distincte d’humains radicalement améliorés et l’autre dans laquelle émerge une intelligence machine plus grande que l’homme. Pour connaître davantage sur le sujet, Terence Ericson traite le sujet pour une meilleure compréhension du transhumanisme et ce qui l’entoure.
La deuxième souche du transhumanisme a une opinion contrastée, selon laquelle les institutions sociales telles que la religion, les notions traditionnelles du mariage et de l’éducation des enfants et les perspectives occidentales de liberté peuvent non seulement influencer la trajectoire du développement technologique, mais pourraient en fin de compte la retarder ou l’arrêter. Vienne ensuite l’arrivée de l’organisation à but non lucratif dédiée à travailler avec ces institutions sociales pour promouvoir et guider le développement des technologies de valorisation humaine et pour combattre les forces sociales apparemment vouées à l’arrêt de ces progrès technologiques.
Pour finir, le transhumanisme est un mouvement intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Le transhumanisme considère certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subie comme inutiles et indésirables.